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L'évolution du vivant expliquée à ma boulangère
Table des figures
2009-01-30 / 2009-01-30
1 Comment diable une espèce peut-elle se modifier avec le temps?
1.1 Chiens : Saint Bernard, Lévrier afghan, Chihuahua, Basset.
1.2 Encore des chiens... Malamute, Boxer, Mastiff, Caniche nain.
1.3 L’ADN
1.4 La fécondation
1.5 Couleur des yeux : version très simple avec un gène à deux allèles
1.6 Exemple simple d’un parent aux yeux bleus, et de l’autre aux yeux marrons, hétérozygote (portant un allèle pour le bleu, et l’autre pour le marron).
1.7 Tableau de croisement : la couleur des yeux, version très simple avec un gène à deux allèles, parents hétéroygotes.
1.8 La synthèse de la mélanineprotéine (synthèse).
1.9 Tableau de croisement : la couleur des yeux, version avec deux gènes à deux allèles, parents homozygotes (donc un seul type de gamète pour chaque parent). Pour simplifier le dessin, nous avons placé les deux gènes sur le même chromosome, mais ils pourraient aussi être placés sur des chromosomes différents.
1.10 Simulation de dérive génétique simple : on part de dix gènes à deux allèles, chaque allèle étant à la fréquence initiale de 0,5 puis on les laisse évoluer pendant 700 générations.
1.11 Simulation de dérive génétique simple : on part de dix gènes à deux allèles, chaque allèle étant à la fréquence initiale de 0,1 puis on les laisse évoluer pendant 700 générations.
1.12 Transfert d’information horizontal (d’un individu à l’autre, qui ne descendent pas l’un de l’autre) et vertical (par descendance).
3 L’arbre du vivant
3.1 Voici l’exemple de l’évolution d’une séquence au fil de plusieurs générations. On commence par observer 5 mutations (en rouge), entre la séquence ancestrale et la première séquence-fille. Puis, plus tard, on constate que la deuxième séquence-fille possède 4 différences avec la première, mais seulement 5 avec l’ancêtre, car une des mutations (en vert) a restauré une base ancestrale.
3.2 Exemple d’arbres phylogénétiques construits sur la base d’un groupe d’espèces imaginaires, des points noirs et des points bleus. Le but du jeu est de trouver la couleur de l’ancêtre commun.
3.3 Arbre du vivant simplifié, réalisé par Eric Gaba d’après Carl Woese. Cet arbre n’est déjà plus tout à fait exact d’après les données actuelles. Nous savons par exemple que les champignons sont plus proches des animaux que des végétaux.
3.4 Arbre représentatif de la phylogénie des vertébrés, représentant les apparentements entre les groupes. Les distances entre les branches et la longueur des branches ne représentent pas la distance génétique réelle. Les tétrapodes sont les « animaux à quatre pattes munies de doigts », dont font partie les oiseaux, les crocodiles, les tortues, les lézards, les serpents (eh oui), les batraciens, les mammifères (dont l’homme)... Avec cet arbre, les tétrapodes sont inclus dans les « poissons »...
3.5 Arbre phylogénique des hominidés, représentant les apparentements entre les groupes. Les distances entre les branches et la longueur des branches ne représentent pas la distance génétique réelle. Le groupe des humains + bonobos + chimpanzés constitue le groupe des homininés. Le groupes-frère des hominidés (= homininés+ gorilles) est celui des pongidés, les orang-outangs.
3.6 Voici deux chats siamois à pedigree, enregistrés à vingt ans d’écart. L’évolution du « standard » de la race est bien visible. L’individu de droite, plus récent, montre un profil beaucoup plus long et plus droit, ses oreilles sont plus larges par rapport au crâne, et plus hautes que celles de celui de gauche, qui est plus proche du siamois tel qu’il était lorsqu’il fût importé de Thaïlande par Auguste Pavie. En vingt ans, la race s’est considérablement modifiée.
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