Licorne Noire - Mot-clé - cinémaLe site de deux passionnés de jeu de rôle...2024-03-29T02:15:21+00:00urn:md5:9402d90359e9bbcbd05ee7f58f6ded91DotclearLes jeux de rôles au cinéma et à la télévision.urn:md5:480b91c3e21a30f85ec237d513a624c62011-02-22T21:18:00+00:00LéoAutour du JdRADDcinémaJeu de rôle
<p style="margin-bottom: 0cm;">Les jeux de rôles, tout comme la
littérature, les bandes dessinées, les séries télévisées ou
bien encore les jeux vidéos, n'ont pas échappé à cette vague –
parfois purement mercantile - qui est l'adaptation par le septième
art. Nous avons remonté nos manches jusqu'aux épaules et nous avons
décidé de faire un panorama des jeux de rôles adaptés au cinéma,
mais aussi les films qui ont pour thème le jeu de rôle ou
simplement lui consacrent un passage.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Souvenez vous de la partie de jeu de
rôle dans le film « E.T. » de Steven Spielberg ou encore
le sujet du film « Das Experiment » dans lequel des
personnes « jouent » aux prisonniers et aux surveillants.
Une petite mise en garde, quand nous parlons jeu de rôle, nous
n'incluront pas les muder-party, ni les jeux de rôles de masse sur
ordinateur ou M.M.O.R.P.G..</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">C'est parti, on commence gentiment avec
les jeux de rôles d'Heroïc Fantasy.</p>
<h2 style="margin-bottom: 0cm; font-weight: bold;"><ins>A- Papa, dessine moi un (beau)
dragon.</ins></h2>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Aussi étrange que cela puisse
paraitre, le premier film incluant une partie de jeu de rôle
daterait de 1982. Il s'agit de « E.T. L'extra-terrestre »,
du réalisateur Steven Spielberg. La scène se révèle être plutôt
un clin d’œil et n'a pas de vrai intérêt scénaristique mais
elle présente globalement bien l'ambiance d'une partie de jeux de
rôle. Les acteurs sont autours d'une table sur laquelle on reconnait
aisément un décors de donjon. Les personnages ont des blocs de
papier à côté d'eux. Cependant, l'ambiance générale est plus
au « je m'en foutisme » qu'à l'animation d'une partie
entre passionnés. La suite tout le monde la connait, le jeune Elliot
va chercher son <del>étron </del><span style="text-decoration: none;">E.T.
dehors.</span></p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Ce qui est amusant c'est que finalement
le premier film à parler réellement de jeux de rôles et en
particulier « Donjons et Dragons », dans le sens où il
s'agit du point principal du scenario, n'en fit pas l'éloge mais
une virulente critique, par ailleurs infondée.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Habillement intitulé « Mazes and
Monsters », ce film est l'adaptation du roman de Rona Jaffe,
consacré à l'affaire <a href="http://ptgptb.org/0006/egbert.html">James Dallas Egbert III</a>.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Nous en avions déjà parlé dans
l'article consacré à Donjons et Dragons (Fan de Fantasy n°), nous
vous laissons vous y référer pour obtenir davantage d'informations
sur cette triste histoire.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Serait-ce pour contrecarrer la future
B.A.D.D. (Bothered against Dungeons and Dragons) que le dessin animé
« Dungeons and Dragons » a été produit ? Intitulée
chez nous « Le sourire du dragon », la série animée
débarque sur le petit écran américain le 17 septembre 1983. Il
faudra attendre janvier 1987 pour la voir en France. Ce dessin animé
dont les scénari ont été co-écrit avec l'un des fondateurs du jeu
de rôle « Donjons et Dragons », Gary Gygax, était
surtout destiné aux plus jeunes. L'histoire était digne des
nombreux modules de scénarios (R2-L2-F2...) sortis à l'époque,
comprenez par là qu'elle ne valait pas grand chose en soi. Des
adolescents se trouvaient projetés dans le monde de Donjons et
Dragons et « aidés du vieux maitre qui connait les secrets »
(dixit Dorothée dans le générique de début) ils chercheront un
moyen de vaincre le méchant récurrent, Vengeur afin de retourner
chez eux. Ce sont tout de même 27 épisodes découpés en 3 saisons
qui ont été produits par Toei Animation et Marvel production.
Hélas, la série ne propose pas de fin, bien qu'on apprenne tout de
même que « le vieux maitre » est le père de Vengeur. Un
jeu de société est même sorti, fermant la boucle « artistique ».
Pourquoi le nom de « Sourire du dragon » ? Tout
bonnement pour induire en erreur les jeunes spectateurs qui pensaient
regarder la suite d'un film d'animation intitulé « Le vol des
dragons », découpé en plusieurs parties lors de sa diffusion
télévisuelle.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">En 1983, sortait en salle « Krull »
qui portait comme premier nom « Dungeons&Dragons ».
Le projet initial avait peut-être un (lointain) lien avec le jeu de
rôle mais le résultat final fit changer le nom du film. Le pitch
est simple :un jeune prince doit vaincre le monstre dans sa
citadelle grâce à son boomerang magique en forme de svastika et
délivrer sa copine au passage. Une très belle musique pour un nanar
de première. Passons directement au navet suivant qui cette fois
malheureusement porte (et revendique) le nom de « Donjons et
Dragons ».
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">En l'an de grâce 2000, sortait ce
film, long de ses 107 minutes. Le réalisateur Courtney Solomon avait
acquis les droits d'adaptations cinématographique de la licence à
l'âge de 19 ans mais ne put obtenir le financement pour l'adapter
que 10 ans plus tard. En théorie, sans m'avancer, il aurait
largement eu le temps pour faire un bon scénario. À l'écoute du
commentaire audio de Courtney Solomon présent sur le DVD, on sent
que le pauvre bougre croyait à son projet et espérait en faire
quelque chose mais il du s'incliner devant la dure loi des
co-producteurs, et il en résultat un pur navet. Avouons tout de même
que le nom du sorcier « Profion » et celui de
l'impératrice « Savina » (pour un peu on a échappé à
Savanah qui est le nom d'une actrice pornographique américaine) sont
tout bonnement ridicules. On ne parlera pas des effets spéciaux
dignes de la série télévisée « Hercule » de Sam
Raimi, ni de l'acting digne d'un épisode de « Thierry la
fronde ». Bref, tout ça fait beaucoup de choses, et toutes ne
sont pas imputables à la restriction budgétaire. Cela dit, on ne
fait pas une armée de dragons si on a pas de pognon. Il faut rester
modeste. L'histoire est aussi simple qu'un épisode du dessin animé
éponyme. L'Empire Izmer est dirigé par Savina, impératrice
possédant une super relique pouvant contrôler les dragons d'or
(rien que ça...Mais que fait Bahamut?). Elle cherche en outre à
restaurer une équité sociale entre les mages et le commun des
mortels – comprenez par là les hommes du peuple. Mais cela, les
magots ne le digèrent pas. On peut les comprendre, car il suffit
d'avoir joué un magicien dans les anciennes éditions de D&D
pour savoir qu'il en faut, des points d'expérience, pour monter un
niveau! Bref, Profion, qui est un grand mage à défaut d'avoir un
grand nom, un peu moins con que les autres, se frotte les mains. En
effet, notre brave homme veut mettre la main sur un bâton(net)
équivalent à celui de l'impératrice pour renverser l'empire. Un
empire un peu pourri puisque sa seule force réside dans le bâtonnet
et une poignée de jeteurs de sort. Bref, Profion profite de l'acte
social altruiste de l'impératrice pour lever les magiciens contre
l'empire et chercher le super objet magique. Mais heureusement que
serait un tel scénar sans voleur au grand coeur? Et bien vous en
avez deux pour le prix d'un cerveau: Snails et Ridley. Ceux-ci vont
tâcher de mettre la main sur le bout de bois avant le sorcier
Profion, dont son niveau de magie reste indéterminé puisque ses
boules de feu ne se classent dans aucun livre des règles de Donjons
et Dragons... Et un nanar de plus à voir entre deux parties de jeux
de rôles, juste pour se rappeler des histoires qu'il ne faut pas
écrire.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">N'oublions pas non plus l'incursion du
jeu de rôle dans le troisième film de la prolifique franchise
« Nightmare on Elm Street ». En 1987 sortait « Freddy
3: les griffes du cauchemar » ou en version originale « A
Nightamre on Elm Street : Dream Warriors ». Dans ce film, dont
l'action se situe dans un hopital psychiatrique, un des patients,
nommé Will, cloué sur une chaise roulante, est fan d'un personnage
« Wizard Master » tiré d'un jeu de rôle/plateau. À
noter que, pour le profane, il semblerait que les jeux de rôles se
résument à des dragons, des épées et des boules de feu. Dommage
que les scénaristes n'y aient manifestement jamais joué, pour en
avoir une idée aussi restrictive. Pour certains ça aurait peut-être
pu être utile en leur apprenant à construire des histoires
originales...</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Un concept intéressant sort en 2003
avec le film d'animation interactif « The Scourge of Worlds, A
Dungeons & Dragons adventure » qui s'inscrit dans la lignée
des « livres dont vous êtes le héros ».</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Entièrement en 3D, il permet au(x)
spectateur(s) de suivre l'aventure d'un groupe d'aventuriers envoyé
par le temple Pelor pour ramener Barathion, un prêtre de Pelor, afin
qu'il s'explique sur certains évènements qui ont eu lieu. Suivant
vos choix, l'aventure sera modifiée. Il y a en tout 10 fins
possibles, ce qui pour l'époque, et même maintenant, est plus que
raisonnable.
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Malgré le bide retentissant du premier
film « Donjons et Dragons », une suite est produite en
2005, par le même réalisateur. Mais un autre personnag s'y colle
pour lui donner vie, le directeur de la photographie des films
Hellraiser 3, Hellraiser Bloodline, Necronomicon..., Gerry Lively.
Revenons sur l'histoire. L'acolyte du sorcier Profion du premier
opus, Damodar, récupère le globe noir lui permettant de contrôler
les 4 éléments et décide d'invoquer un dragon noir – oui vous
avez bien lu – pour décimer l'empire d'Ismir. Pour éviter cela,
on envoie 5 guerriers pour récupérer le globe avant le réveil du
dragon (qui sur l'affiche du film est éveillé). Toujours aussi
mauvais. Mais, budget oblige, le film a au moins vu ses prétentions
à la baisse.
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Un film d'animation basé sur la
franchise Dragonlance, et plus particulièrement le roman
« Dragonlance: crépuscule dragons d'automne » est
produit en 2008. Aucune surprise malheureusement, l'adaptation est
loin d'être réussie et ne retranscrit pas l'ambiance des romans.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Nous avons volontairement cité que les
films qui sont des inspirations directes des jeux de rôles d'Héroïc
Fantasy. La trilogie cinématographique du Seigneur des Anneaux est
avant tout l'adaptation du roman, et non des jeux de rôles
développés autour de la littérature de Tolkien.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">À ce jour, aucune nouvelle adaptation
d'un jeu de rôle d'héroïc fantasy n'est prévue, que ce soit à la
télévision ou au cinéma.</p>
<h2 style="margin-bottom: 0cm; font-weight: bold;"><ins>B- Bon, ok pas de dragon mais un
grand ancien?</ins></h2>
<p style="margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">Nous arrivons à
un problème épineux. On a beau réfléchir mais des centaines de
jeux qui existent et ont du succès, seul le jeu de rôle « Donjons
et Dragons » a connu des adaptations directes. « L'appel
de Ch'tullu » ou le récent « Ch'tullu » sont
adapté des romans de Lovecraft. De ce fait, des films comme « la
malédiction d'Arkam » sont avant tout l'adaptation des romans
de l'auteur et non du jeu de rôle (surtout que celui-ci est sorti
après le film). C'est bien dommage car le mythe de Ch'tullu ou des
grands anciens en général a été adapté avec beaucoup plus de
brio que celui des Donjons et des Dragons. Citons tout de même
quelques grands films à voir pour ceux qui jouent à ces célèbres
jeux de rôles d'épouvante.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="text-decoration: none;">« L'antre
de la folie » (« </span>In the Mouth of Madness »-1994)
<span style="text-decoration: none;"> et « le prince des
ténèbres »(1987) de John Crapenter traitent avec talent de la
venue d'entité(s) d'un autre monde. « La malédiction
d'Arkham » (1963) de Roger Corman reprend la trame du court
roman « l'affairer Dexter Ward » de H.P.Lovecraft. Bien
que victime des défauts suivants : ..., on peut tout de même
citer, toujours d'après une oeuvre de Lovecraft, « Dagon »
(2001) de Stuart Gordon qui a d'ailleurs adapté aussi « Herbert
West : réanimateur », du même auteur. Toujours d'après
Lovecraft, il y a bien sûr « The Dunwich Horror » adapté
par deux fois en 1970 (« Horreur à Volonté ») et en
2009 (inédit chez nous). </span>
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">Rassurez-vous !
Il n'y a pas que des monstres des profondeurs dans la vie, même si
on n'est pas gâtés dans les adaptations de jeux de rôle
contemporain horrifique. Un seul film prend une inspiration non
avouée d'un jeu de rôle, c'est bien sûre la franchise
« Underworld ». Une Carmilla, des vampires en lutte
contre les loups-garou et entre eux, la notion de clans...Cela fait
beaucoup de ressemblance avec le jeu de rôle Vampire:La Mascarade. À
ce sujet il faut noter que le jeu de rôle Vampire:La Mascarade a
connu une adaptation officielle sous forme de série télévisuelle
et cela « grâce » à Aaaron Spelling!
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">Hé oui, le papa
de « Beverly hills 90210 », « Melrose place »
entre autre, a produit cette série en 1996, qui malheureusement n'a
fait que 8 épisodes puisque l'acteur principal est mort dans un
accident de moto. Intitulé « Kindred:The Embraced » ou
encore, « Kindred: le clan des maudits » en France, la
série était basée autant sur les romans des clans vampiriques
eux-même adaptés du jeu de rôle.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">C'est ainsi que
s'achève notre paragraphe sur le thème jeux de rôles autres que
Donjons et Dragons adaptés en film. Mais restez assis puisque nous
allons parler des films ayant pour thématique le concept du jeu de
rôle, abordé de près ou de loin.</p>
<h2 style="margin-bottom: 0cm; font-weight: bold;"><ins>C- Faut-il une table pour jouer au
jeux de rôles?</ins></h2>
<p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="text-decoration: none;">Comme
le témoigne le récent « Shutter Island » de Martin
Scorcese (ah, que l'on est loin des inepties d'un « Maze and
Monsters »...), pas mal de films traitent du thème </span>du
jeu de rôle de façon plus ou moins évidente. John Woo avec
« Volte-face » nous raconte un échange d'identité (et
de visage !) entre un flic et un malfrat pour une course poursuite
effrénée. Vous allez probablement répliquer que dans ce cas la
plus célèbre équipe de rôlistes est celle de Peter Graves, le
monsieur James « Jim » Phelps de « Mission
impossible ». Chacun joue des rôles pour réussir la mission,
n'est-ce pas l'essence même du jeu de rôle ? Quel différence
entre un flic infiltré dans un milieu maffieux et un joueur qui joue
un vampire dans un clan de loup-garous ? Chacun, à un moment de
nos vies, avons du mettre des masques pour se protéger ou atteindre
notre but, et on se doute que les grands acteurs de théâtre
doivent être de formidables joueurs. Fantomas, Arsène Lupin et
Sherlock Holmes auraient été de redoutables joueurs pour les
meneurs de jeu.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">Mais nous nous égarons...
Reprenons-nous et il est temps de terminer notre dossier
cinématographique.</p>
<p style="margin-bottom: 0cm;">En 1999 sort le long métrage espagnol
<span style="font-style: normal;">« </span><em><span style="font-style: normal;">Nadie
conoce a nadie »</span></em><span style="font-style: normal;">
traduit par « Jeux de rôles ». Un écrivain, Simón
Cárdenas, se voit contraint de participer à un jeu de rôle
criminel afin d'éviter une catastrophe lors des manifestations
religieuses à Séville. Pas de dés, mais de vrais flingues pour un
thriller un peu trop conventionnel mais qui reste sympathique.</span></p>
<p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal;">« Das
experiment » ou « l'expérience » sort en 2001 et
c'est une bombe cinématographique. Adapté du roman de Mario
Giordano, lequel est inspiré d'une réelle expérience, le film met
en abyme l'âme de l'être humain et nous jette à la figure que
n'importe qui, avec un peu de pouvoir, peut dégénérer en un
dangereux psychopathe. L'histoire est celle du professeur Thon (ça
sonne mieux en allemand) qui désire étudier le comportement humain.
Pour cela, il enferme 20 volontaires dans une prison. 12 joueront les
prisonniers et les 8 autres des gardiens. Les règles étant les même
que dans une prison, la situation va progressivement échapper à
tout contrôle et le but des participants deviendra la survie. Un
très grand film qui se doit d'être vu, ne serait ce que pour sa
culture personnelle. Un remake américain sort directement en DVD/blu
ray en fin 2010 avec Forrest Whitaker et Adrian Brody. Finalement,
l'amalgame est vite fait entre le jeu de rôle et la réalité
virtuelle ( ? comprends pas cette phrase, et son rapport avec le
film).
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal;">En prenant au mot
le titre de cet article, très peu de jeu de rôles ont été adaptés
avec succès. Cela vient peut-être du fait qu'un des éléments
essentiels du jeu de rôle est justement l'imagination des joueurs.
Bien au delà des effets spéciaux qu'ils peuvent imaginer, c'est la
qualité et l'intensité des histoires qui rendent les joueurs
accros. Comme pour les romans, l'adaptation est souvent difficile
même si un nain reste un nain. Ce qui est amusant c'est que
l'inverse, l'adaptation de films en jeu de rôle, est souvent réussi.
On peut pendre comme exemple James Bond ou Star Wars (même si ils
ont aussi leurs défauts). Hollywood mise maintenant plus sur
l'adaptation de franchises de comic-books ou de jeux video que celui
de jeu de rôle. Le future film de World of Warcraft alliant les jeux
vidéos et l'héroïc Fantasy risque de faire un malheur et devinez
quoi ? On nous sert encore des épées et des boules de feu...</p> http://www.brumedargent.net/licorne_noire/index.php?post/2011/02/22/Les-jeux-de-r%C3%B4les-au-cin%C3%A9ma-et-%C3%A0-la-t%C3%A9l%C3%A9vision.#comment-formhttp://www.brumedargent.net/licorne_noire/index.php?feed/atom/comments/2477